Comment les banques canadiennes parviennent à une traduction IA sécurisée et conforme
Les institutions financières canadiennes opèrent dans l'un des environnements réglementaires les plus complexes au monde. Avec le projet de loi 96 du Québec imposant le français comme langue d'affaires prédominante et les modifications apportées à la Loi sur les langues officielles imposant de nouvelles obligations aux secteurs sous réglementation fédérale, dont les banques, le paysage linguistique a fondamentalement changé.
La conformité va maintenant bien au-delà des documents destinés aux clients. La documentation interne, les contrats, les formations et les interfaces numériques doivent tous respecter des exigences linguistiques rigoureuses tout en protégeant les données sensibles conformément à l'évolution de la législation sur la confidentialité et l'IA. Le non-respect de ces exigences expose les institutions financières à des risques réglementaires, à des atteintes à leur réputation et à une inefficacité opérationnelle.
Ce contexte canadien-français exige un système de traduction basé sur l'IA, conçu pour le Canada : une traduction sur place sécurisée, vérifiable et offrant exactitude linguistique, confidentialité et traçabilité.
Calcul du coût de la traduction
Pendant des décennies, l'impartition de la traduction manuelle a été la solution de choix pour réduire les coûts, mais cette approche devient de plus en plus risquée. La transmission d'informations sensibles sur les clients à des tiers présente un risque de violation de données et accroît l'incertitude quant à la résidence des données. Avec les changements législatifs faisant de la traduction une fonction essentielle de l'entreprise, l'impartition devient de moins en moins viable.
Sur le plan opérationnel, la tarification au mot pour la traduction fait grimper les coûts, en particulier pour les gros volumes de contenu. Les longs délais d'exécution sont aggravés par des erreurs de formatage qui engendrent davantage de travail manuel pour des équipes internes surchargées. Quel est l'effet cumulatif ? Prestation de services plus lente et efforts considérables pour vérifier l'exactitude des traductions entre les langues et les types de documents.
Lacunes en matière de conformité des outils d'IA infonuagiques
Certaines banques ont remédié au coût élevé de la traduction en adoptant des outils d'IA infonuagiques, ce qui engendre des préoccupations en matière de conformité et de cybersécurité. Les traductions d'IA générales ont tendance à être peu performantes dans les contextes financiers et juridiques, en particulier pour l'usage régional et canadien du français. Les inexactitudes de traduction créent des lacunes en matière de conformité, déforment les termes et peuvent invalider les contrats.
La transparence est aussi problématique. La plupart des outils d'IA publics n'enregistrent pas les traductions conformément aux exigences de la LPRPDE, du BSIF ou d'autres exigences réglementaires canadiennes. Assurer une auditabilité et une traçabilité complètes dans le cadre de cadres de gouvernance établis est un facteur de réussite essentiel pour l'utilisation des applications d'IA dans les opérations financières.
Conçu pour le Canada : Traduction sécuritaire sur place
Il est temps d'adopter une nouvelle approche de la traduction qui s'appuie sur l'innovation canadienne en matière d'IA pour alléger le fardeau opérationnel du secteur bancaire.
Conçu pour protéger les données hautement sensibles et classifiées au sein des organisations de défense canadiennes, CastleGuard AI offre des capacités de traduction entièrement sécurisées, adaptées à l'environnement linguistique et réglementaire du Canada.
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